concept n° : ST014 domaine : musicologie |
organisme : TERMISTI auteur : Gracienne Benoit
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date : 2005.07.01
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EN
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- définition : Assumption according to which objects are grouped by a categorising system.
source : following KUUSI 2001: 16
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entrée : equivalence
grammaire : noun
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contexte : Pitch-class equivalence means that the term “G#” can refer to a G# in any octave.
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source : CHENETTE 2004: 1
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contexte : integers are asigned to the chromatic scale members. (...) This integer system of note naming employs the notion of enharmonic
equivalence (KELLEY 2002) The 12 intervals reduce to 6 interval classes by the (...) defined equivalence (...) [that states
that] inverse-related (mod 12) intervals are defined as equivalent
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source : FORTE 1973: 14
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contexte : Our approach aims at giving the possibility to the music-theorist and composer to choose between different group actions,
according the different meaning of the notion of ‘musical equivalence.’
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source : ANDREATTA & AGON 2004: 1
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Cooccurrences
- to compare two pc sets for inversional equivalence
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- transpositional equivalence of sets
source : FORTE 1973: 5
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- equivalence by transposition
source : op.cit.: 8
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- equivalence relations based upon transposition and inversion
source : op.cit.: 13
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- inversional equivalence of sets
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close
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FR
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- définition : Une relation d’équivalence réunit des éléments en un ensemble. « Equivalence » s’entend ici au sens mathématique : la relation
d’équivalence est réflexive (un élément est équivalent à lui-même), symétrique (deux éléments sont équivalents l’un à l’autre)
et transitive (un élément équivalent à un autre est équivalent aux éléments auxquels ce dernier est équivalent).
source : d’après SCHAUB 2002 : 3, 4 ; ANDREATTA, le 3 mai 2005
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entrée : équivalence
grammaire : nom féminin
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contexte : La notion d’ensemble de classes de hauteurs, qui est à la base de la Set Theory d’Allen Forte, est (...) introduite (...)
dans son caractère d’équivalence formelle entre intervalles complémentaires, c’est-à-dire intervalles dont la somme (modulo
12) est égale à zéro.
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source : ANDREATTA 2003c : 36
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contexte : l’utilisation de classes d’équivalence aussi bien dans l’analyse que dans la composition, est étroitement liée au paradigme
algébrique sur lequel on s’appuie pour définir la notion d’équivalence entre accords. (...) Une des conséquences les plus
importantes du recours au groupe dihédral est l’équivalence formelle entre l’accord majeur et l’accord mineur.
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source : ANDREATTA & AGON 2003b 3e p.
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contexte : toute démarche analytique visant à établir un catalogue exhaustif d’accords peut s’interpréter comme le choix d’un paradigme
à l’intérieur duquel déduire une notion d’équivalence au sens mathématique.
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source : ANDREATTA & AGON 2003b 12e p.
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