concept n° : ST057
domaine : musicologie


organisme : TERMISTI
auteur : Gracienne Benoit


Accueil - Homedate : 2005.07.01

EN

définition : We say that 0 is the inverse of 0, 1 is the inverse of 11 and 11 is the inverse of 1, and so on. In general, if we let a' represent the inverse of a, then a' = 12-a (mod 12).

source : FORTE 1973 : 8

entrée : inverse

grammaire : noun

contexte : As with tonal pc intervals, interval pairs which add together to make an octave are considered “inverses” of each other.

source : TUCKER 2000

entrée : inverse-related

grammaire : compound adjective

contexte : inverse-related [mod 12] values of t, the transposition operators t and t', are equivalent (members of the same interval class)

source : FORTE 1973: 31-32

entrée : inversion

grammaire : noun

contexte : An interval class contains the interval and its inversion.

source : RUMERY 2004: 2

entrée : complementary

grammaire : adjective

contexte : pairs of pc intervals are [said to be] complementary [if] their integers (…) add up to 12.

source : TUCKER 2001 : 2

FR

définition : Deux classes de hauteurs délimitent entre elles deux classes d’intervalles dont l’une est l’inverse de l’autre. L’intervalle allant de 0 à 4 correspond à la classe d’intervalle 4, celui entre 4 et 0 à la classe d’intervalle 8.

source : ANDREATTA 2003c : 115

entrée : inverse

grammaire : nom masculin, adjectif

contexte : l’inverse de sol [est] fa

source : HASCHER 2002b : 57

contexte : Dans la théorie de Forte, une équivalence formelle est établie entre un intervalle et son inverse : les deux font donc partie de la même « classe ».

source : ANDREATTA 2003c : 113

contexte : (en parlant de représentation intervallique) dans le cas où les deux classes d’intervalles sont inverses l’une de l’autre, une seule valeur est recensée

source : ANDREATTA 2003c : 116

entrée : complémentaire

grammaire : adjectif

note : dans un contexte où « complémentaire » est relatif à un ensemble de classes de hauteurs, il n’est pas synonyme d'« inverse ».

contexte : La notion de classes de hauteurs (...) est (...) introduite (...) dans son caractère d’équivalence formelle entre intervalles complémentaires, c’est-à-dire intervalles dont la somme (modulo 12) est égale à zéro.

source : ANDREATTA 2003c : 36

contexte : on [postule] l’équivalence des intervalles complémentaires en sorte que par exemple do-do# soit considéré comme le « même » intervalle, qu’il se dispose en seconde mineure ascendante ou en septième majeure descendante

source : NICOLAS 1989

entrée : renversement

grammaire : nom masculin

note : voir « renversement » d’accord et « équivalent inverse »

contexte : au-delà de la demi-octave n’existent que des renversements des cinq intervalles les plus petits et du triton lui-même.

source : DELIÈGE 1989 : 67


Accueil - Home  © Gracienne Benoit, 2005